L’homme des jeux

, #1

478 pages

French language

Published Nov. 10, 1992 by Le Livre de poche.

ISBN:
978-2-253-07185-3
Copied ISBN!
OCLC Number:
35173959

View on OpenLibrary

(5 reviews)

Dans l'empire d'Azad, le pouvoir se conquiert à travers un jeu multiforme. Jeu de stratégie, jeu de rôle, jeu de hasard, le prix en est le trône de l'Empereur.

Gurgeh est le champion de la Culture, une vaste société galactique, pacifique, multiforme, anarchiste, tolérante, éthique et cynique où le jeu est considéré comme un art majeur.

S'il gagne, la paix sera sauvée entre la Culture et Azad.

S'il perd...

Voici le premier volume de la fameuse série de la Culture qui a renouvelé avec humour et panache le thème de la société galactique. Il sera suivi de L'Usage des armes et de Une forme de guerre.

9 editions

The Player of Games (Goodreads)

Content warning General spoilers

The Player of Games

Le premier roman du cycle nous proposait de découvrir la Culture de loin, à travers le regard d'un de ses ennemis. Cette fois, nous découvrons cette civilisation à travers l'un de ses citoyens, d'abord dans sa vie quotidienne puis par contraste avec une autre civilisation qu'il va découvrir tout au long du roman.

Avant tout, ce roman est le récit d'une rencontre entre deux civilisations, deux cultures que tout oppose. D'un côté, la Culture et son modèle utopique très inspiré des idées anarchistes. De l'autre, l'Empire d'Azad, impérialiste, colonialiste, antisocial et belliqueux. Le protagoniste, issu de la Culture, découvre un Empire autoritaire où les rapports sociaux sont fixés par les règles strictes de ce qui est littéralement un jeu de pouvoir. Il nous offre ainsi un regard sur notre propre société contemporaine et une critique acerbe de celle-ci.

J'ai trouvé ce deuxième roman du cycle encore meilleur que le premier …

Review of 'The Player of Games' on 'Storygraph'

This is the first Iain M Banks novel I've read and I really enjoyed it. It's big far future space opera, but the focus is on the characters (some of them AI drones). The pacing is great with peaceful sections interspersed with violence and threat building to a satisfying conclusion. 

Excellent in building a mood

The external exploration of a fascist empire from the point of view of a culture game player gives deep insights into the political philosophy of both, and the author himself. The ending leaves a sour taste in your mouth, with a lot of moral ambiguity on who was "right".

avatar for joachim

rated it