Deux sans barreur

118 pages

Langue : French

Publié 2 novembre 2006 par Actes sud.

ISBN :
978-2-7427-6345-0
Copied ISBN!
Numéro OCLC :
77379111

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4 étoiles (2 critiques)

Récit de l'amitié fusionnelle entre deux garçons. De 12 à 18 ans, ils vivent enfermés dans leur monde imaginaire, voulant tout faire ensemble : compétitions d'aviron, premières amours, jeux à haut risque.

1 edition

Review of 'Deux sans barreur' on 'Goodreads'

4 étoiles

Le journaliste et écrivain allemand Dirk Kurbjuweit signe avec Deux sans barreur un roman magnifique sur l'amitié. Johann et Ludwig ont douze ans quand ils font connaissance et nouent une amitié qui leur lierai jusqu'à l'âge de dix-huit ans. Nous suivons la vie de ces deux amis, inséparables au point de vouloir être semblables comme seuls des frères jumeaux pourraient l'être.

Le dénouement est sans réelle surprise mais amené avec beaucoup de pudeur et de finesse. J'ai été marqué par ce paragraphe qui reflète bien le style, à la fois simple et profond, du roman :

Bien sûr, Ludwig me manque, mais il ne faut pas croire que j'en serai définitivement accablé. Le deuil est aussi une forme de compagnie, je ne suis jamais seul. Non pas que je parlerais avec Ludwig ou je ne sais quoi, je ne crois pas à ce genre de choses. Simplement, je me demande …

Review of 'Deux sans barreur' on 'Goodreads'

4 étoiles

Le journaliste et écrivain allemand Dirk Kurbjuweit signe avec Deux sans barreur un roman magnifique sur l'amitié. Johann et Ludwig ont douze ans quand ils font connaissance et nouent une amitié qui leur lierai jusqu'à l'âge de dix-huit ans. Nous suivons la vie de ces deux amis, inséparables au point de vouloir être semblables comme seuls des frères jumeaux pourraient l'être.

Le dénouement est sans réelle surprise mais amené avec beaucoup de pudeur et de finesse. J'ai été marqué par ce paragraphe qui reflète bien le style, à la fois simple et profond, du roman :

Bien sûr, Ludwig me manque, mais il ne faut pas croire que j'en serai définitivement accablé. Le deuil est aussi une forme de compagnie, je ne suis jamais seul. Non pas que je parlerais avec Ludwig ou je ne sais quoi, je ne crois pas à ce genre de choses. Simplement, je me demande …