Zéro Janvier reviewed The Angel's Game by Carlos Ruiz Zafón
Review of "The Angel's Game" on 'Goodreads'
3 étoiles
Après avoir dévoré et adoré "L'ombre du vent" de Carlos Ruiz Zafon, je me suis plongé dans "Le jeu de l'ange" du même auteur.
Dès les premières chapitres, je n'étais pas perdu : j'ai retrouvé l'univers si particulier de l'auteur espagnol, mêlant des personnages passionnés de littérature, des histoires d'amour, une bonne dose d'enquête policière, et un soupçon de fantastique.
Malheureusement, le résultat est moins exaltant et enthousiasmant que dans "L'ombre du vent". Sans doute parce que celui-ci ressemble trop au précédent mais n'arrive jamais à l'égaler. J'ai eu l'impression que l'auteur s'était contenté de réutiliser les mêmes recettes mais sans rien apporter de vraiment nouveau. Il va même jusqu'à réutiliser des personnages de "L'ombre du vent" : ça commence comme un clin d'oeil sympathique, mais cela finit comme une tentative un peu désespérée de se raccrocher au succès - mérité - de son chef d'oeuvre.
Malgré tout, ce roman …
Après avoir dévoré et adoré "L'ombre du vent" de Carlos Ruiz Zafon, je me suis plongé dans "Le jeu de l'ange" du même auteur.
Dès les premières chapitres, je n'étais pas perdu : j'ai retrouvé l'univers si particulier de l'auteur espagnol, mêlant des personnages passionnés de littérature, des histoires d'amour, une bonne dose d'enquête policière, et un soupçon de fantastique.
Malheureusement, le résultat est moins exaltant et enthousiasmant que dans "L'ombre du vent". Sans doute parce que celui-ci ressemble trop au précédent mais n'arrive jamais à l'égaler. J'ai eu l'impression que l'auteur s'était contenté de réutiliser les mêmes recettes mais sans rien apporter de vraiment nouveau. Il va même jusqu'à réutiliser des personnages de "L'ombre du vent" : ça commence comme un clin d'oeil sympathique, mais cela finit comme une tentative un peu désespérée de se raccrocher au succès - mérité - de son chef d'oeuvre.
Malgré tout, ce roman se laisse lire. Le suspense est bien présent et même si j'ai jamais vraiment réussi à me passionner pour les aventures et le destin du narrateur, j'ai lu sans peine les six cent pages du récit.