Planètes à vendre, tome 2

Pas de couverture

Stéphane Desienne: Planètes à vendre, tome 2 (Français language, 2021, Les éditions du 38)

454 pages

Langue : Français

Publié 30 juin 2021 par Les éditions du 38.

ISBN :
978023
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4 étoiles (1 critique)

Revenue de très loin, l’humanité – avec seulement les 237 passagers du vol DH370 au début – a réussi en 30 ans à se faire une place au sein de l’Orbe grâce aux talents du Club de Carter, mais aussi avec l’aide des Sélaciens. Grâce aux négociations menées en secret par Russo Carter, la diaspora est désormais installée sur le Jardin, une grande lune à la gravité proche de celle de la Terre. Pour la Carter Universal Trading (CUT), dont le business consiste à trouver, évaluer et vendre au plus offrant des planètes de toutes les galaxies au sein de l’Apex, les affaires sont florissantes. Mais ce succès génère de la jalousie, puis des soupçons chez les concurrents. Comment Carter a-t-il pu imposer sa compagnie en si peu de temps et avec des produits aussi exceptionnels ? Son talent ne peut pas tout expliquer. Dans le monde des affaires, sur …

1 édition

Le second tome d'un planet-opéra que je conseille

4 étoiles

Je vais devoir donner mon avis sur le tome II sans divulgâcher le tome I. Je dirais donc tout simplement : « plus ». Plus d’action, plus d’émotion, un peu plus de personnages, mais pas trop. Une très bonne suite (et fin) pour « Planète à vendre ». Des arcs narratifs se terminent, mais pas tous. D’autres apparaissent. L’univers reste cohérent et pourrait être développé avec une suite ou mieux des histoires parallèles. Certains personnages non humains ont des histoires fascinantes.

Dans ces deux nouveaux romans de Stéphane Desienne des thèmes sont plus développés que lors des précédents. Ou développés sous un angle intéressant. Oui l’humanité est entrain de flanquer sa planète en l’air. Et on pourrait via la Science-Fiction envisager qu’une civilisation vienne nous « aider ». Mais de façon altruiste ? Désintéressée ? Pour des civilisations extra-terrestres qui marchanderaient des droits sur des planètes, la nôtre vaudrait un …