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jcouteau

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A rejoint ce serveur il y a 2 années, 10 mois

Lecteur éclectique et hétéroclite, je lis beaucoup de livres glanés dans les 3 boîtes à livre du quartier ou en vide grenier

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Livres de jcouteau

À lire

Lectures en cours

Défi lecture pour 2025

65% terminé ! jcouteau a lu 26 sur 40 livres.

André Aciman: Call me by your name (French language, 2019, Le Livre de poche)

Belle histoire d'amour

Je suis très mitigé sur ce livre. J'ai trouvé toute la première partie longue, et assez répétitive, j'ai eu du mal à m'attacher au personnage que je trouvais du coup beaucoup trop sentimental. Mais la deuxième partie est vraiment très bien, on conserve la description magnifique des sentiments mais avec plus de rythme, rendant la lecture beaucoup plus agréable. Cela dit, il faut nuancer mon propos car finalement c'est conforme à une vraie relation, au début on hésite, pas très sûr, on avance on recule, puis quand la relation s'installe, c'est l'effervescence.

Bref. C'est un bon livre, mais il faut persévérer pour en saisir toute la beauté.

a publié une critique de Là où chantent les écrevisses par Delia Owens (Grands romans)

Delia Owens: Là où chantent les écrevisses (Paperback, French language, 2021, Éditions Points)

Les rumeurs les plus folles courent sur « la Fille des marais » de Barkley …

Magistral

Un livre magnifique, sur la nature, la solitude et l'amour. A la fois contemplatif et page-turner. Une grande claque qui m'a fait verser quelques larmes. On y évoque aussi les rapports noirs-blancs, riches-pauvres dans le sud des États Unis.

Camille Laurens: La petite danseuse de quatorze ans (Paperback, 2019, FOLIO, GALLIMARD)

Des longueurs puis ça se rattrape

Toute la première partie ne m'a pas passionnée, on est vraiment sur un traitement historique/artistique de l'oeuvre, puis l'auteur commence à mettre ses trippes dans le livre, son ressenti, et on est captivé par ses recherches et l'histoire de cette danseuse.

Nicolas Bouvier: Journal d'Aran et d'autres lieux (French language, 2001)

Trop sombre pour photographier à main levée. J'ai fixé l'appareil sur un petit trépied, l'ai posé sur un coin du bar et, trompé par la torpeur générale, négligé de prononcer le fatidique "ne bougeons plus !". Diaphragme :5,6, pose: une seconde. Précisément celle qu'ils ont choisie pour s'étirer en bâillant et battre des paupières. Au lieu d'un Vermeer j'ai eu un Francis Bacon avec ses contours fondus, glaireux et cirrhosés. Et sans doute plus fidèle au génie du lieu.

Journal d'Aran et d'autres lieux de  (Page 60)